Lorsque j’ai osé ouvrir la porte et partir à la découverte de ma nature cyclique féminine, j’ai souri de joie et j’ai pleuré.
Pleurer de bonheur d’être enfin à la maison, au coeur de mon essence.
Pleurer de tristesse face à cette grande sagesse ancestrale cachée.
A mon tour aujourd’hui, de vous accompagner sur la voie de la cyclicité.